Merci, tu fais parfaitement le tour de la question je trouve que ça aide à y voir clair. Comme pour tout, ce que l’on fait de son temps est une question de priorité et de feu intérieur (sauf quand tout cela est asphyxié par un écran hypnotique 🫨).
Super cette newsletter, elle tombe à point nommé. Trouver le temps d'écrire est un vaste sujet, il résulte sans doute d'une volonté et d'une envie d'écrire. Et de saisir comme tu dis les interstices du quotidien. Prenant le train pour me rendre au travail, j'essaie de profiter du trajet pour écrire sur ma tablette ou mon téléphone. En tout cas personne ne pourra ne nous donner le temps, c'est à nous de le prendre.
Merci pour ce partage ! De mon côté je suis entrepreneure et jeune maman à quasi temps plein. Trouver le temps d’écrire mon livre est archi sport. J’écris donc dès que le feu créatif s’allume, parfois en plein milieu de la nuit, en allaitant, sur mon application de notes. Ensuite, dès que je le peux, je me lance le défi de rassembler toutes mes notes, numériques et manuscrites sur un seul document… Les interstices de la vie, oui ça me parle tellement…
Je crois que parallèlement à la notion de temps pour écrire, il y a celle d’énergie. Au moins aussi méprisée par la société quand il s’agit de celle des femmes.
Depuis août, je protège mon sommeil pour protéger mon énergie en journée : c’est très mal vu de se coucher à 21h30. Les gens se permettent des remarques ou tout simplement de refuser de prendre en compte ce BESOIN. Et souvent les plus proches, comme les conjoints. Or on sait que les femmes ont besoin de 1A 2h de sommeil en plus sur les hommes alors que bien souvent ce sont les premières levées et les dernières couchées.
Tant que nous n’imposerons pas nos besoins (et apprendrons à nos filles qu’ils doivent être comblés AVANT de s’occuper de ceux des autres), nos BESOINS de création et de réalisation ne trouveront pas leur place. La première personne à qui l’imposer, c’est nous. Puis cela fera tâche d’huile.
Et créer devant nos enfants, au milieu du bruit et de l’agitation, c’est aussi un moyen d’imposer cette activité fondamentalement humaine. Le casque anti-bruit est ici un moyen de signaler « interdiction de me déranger ». Ma fille étant pré-ado, ça marche assez bien.
Merci, tu fais parfaitement le tour de la question je trouve que ça aide à y voir clair. Comme pour tout, ce que l’on fait de son temps est une question de priorité et de feu intérieur (sauf quand tout cela est asphyxié par un écran hypnotique 🫨).
Merci pour ton commentaire qui résume bien cette édition ! :)
Super cette newsletter, elle tombe à point nommé. Trouver le temps d'écrire est un vaste sujet, il résulte sans doute d'une volonté et d'une envie d'écrire. Et de saisir comme tu dis les interstices du quotidien. Prenant le train pour me rendre au travail, j'essaie de profiter du trajet pour écrire sur ma tablette ou mon téléphone. En tout cas personne ne pourra ne nous donner le temps, c'est à nous de le prendre.
Merci pour ton retour. :) Elle tombe à point nommé parce que tu te poses cette question en ce moment ?
Merci pour ce partage ! De mon côté je suis entrepreneure et jeune maman à quasi temps plein. Trouver le temps d’écrire mon livre est archi sport. J’écris donc dès que le feu créatif s’allume, parfois en plein milieu de la nuit, en allaitant, sur mon application de notes. Ensuite, dès que je le peux, je me lance le défi de rassembler toutes mes notes, numériques et manuscrites sur un seul document… Les interstices de la vie, oui ça me parle tellement…
Je crois que parallèlement à la notion de temps pour écrire, il y a celle d’énergie. Au moins aussi méprisée par la société quand il s’agit de celle des femmes.
Depuis août, je protège mon sommeil pour protéger mon énergie en journée : c’est très mal vu de se coucher à 21h30. Les gens se permettent des remarques ou tout simplement de refuser de prendre en compte ce BESOIN. Et souvent les plus proches, comme les conjoints. Or on sait que les femmes ont besoin de 1A 2h de sommeil en plus sur les hommes alors que bien souvent ce sont les premières levées et les dernières couchées.
Tant que nous n’imposerons pas nos besoins (et apprendrons à nos filles qu’ils doivent être comblés AVANT de s’occuper de ceux des autres), nos BESOINS de création et de réalisation ne trouveront pas leur place. La première personne à qui l’imposer, c’est nous. Puis cela fera tâche d’huile.
Et créer devant nos enfants, au milieu du bruit et de l’agitation, c’est aussi un moyen d’imposer cette activité fondamentalement humaine. Le casque anti-bruit est ici un moyen de signaler « interdiction de me déranger ». Ma fille étant pré-ado, ça marche assez bien.